Décès d'un ancien Choralien

[Jeffg]

Ronnie Smith (ex Asvel, Pau) n'est plus


L'ancien intérieur naturalisé français Ronnie Smith n'est plus annonce l'Asvel dans un communiqué. Devenu policier depuis la fin de sa carrière à l'Elan Béarnais en 2000, il est décédé cette nuit à l'âge de 49 ans alors qu'il exerçait ses fonctions.

C/S

Ancien Roannais avec D.Thirdkill.

[Invité]

C'est avec une immense tristesse que la Chorale vient d'apprendre le décès de RONNIE SMITH. C'est à Vichy puis Roanne qu'il commence sa carrière en France. Il arrive à la Chorale lors de la saison 1989-1990, et contribue à maintenir la Chorale fraichement remontée en Pro-A, après presque 6 ans d'attente.!... Il arrive à la Chorale qui vient juste de déménager dans sa nouvelle halle des sports (aujourd'hui Vacheresse), et compilera plus de 16 pts et 8 rebonds de moyenne ! Il évoluera cette année là avec son compatriote David Thirdkill dans l'équipe du capitaine Christophe Grégoire, et des Mike Gonsalves, Sadi Diagne, ou encore du jeune Franck Bouteille. Devenu un joueur complet, il fera ensuite le bonheur de l'ASVEL et de l'Elan Béarnais .Joueur de l'équipe de France ( 20 sélections ), Smith à été double Champion de France avec Pau Orthez en 1998 et 1999 . La Chorale de Roanne tenait à s'associer à l'ensemble du basket français et rendre hommage à ce joueur et cet homme apprécié de tous.

Autre article :
http://www.catch-and-shoot.com/l-ancien-international-francais-ronnie-smith-n-est-plus-9676.html

[Invité]

http://www.lefigaro.fr/autres-sports/2011/12/18/02021-20111218ARTSPO00125-le-basket-francais-pleure-ronnie-smith.php

[Beapa]

Une grosse pensée à sa femme, roannaise d'origine, à ses filles et à sa famille.

[Guenillot]

Tout mon courage à la famille...

[Invité]

Quelle triste nouvelle. Toutes mes condoléances à ses proches

[benoit42]

Décédé sur une intervention suite à un appel pour une bagarre.
Sincères condoléances à sa famille.

[BEMOL]

hommage à Ronnie sur le site de l'association

http://www.chorale-roanne-basket-jeunes.fr/actualites/ronnie_smith

[number'oanne]

Dieu a rappelé Ronnie Smith

Publié le 19/12/2011 à 06:00


La carrière de basketteur, Ronnie Smith l’a faite en France, notamment à Roanne, Villeurbanne et Pau. Devenu international, marié et père de famille en France, il était depuis quatre ans policeman aux Etats-Unis. Il est mort dans l’exercice de ses fonctions.


Ronnie Smith est mort samedi dans un accident de la route dans le comté de Butts en Géorgie, dans l’exercice de ses fonctions de policeman. Il répondait à un appel de secours. « Sa voiture de police aurait quitté la chaussée et aurait frappé plusieurs arbres, provoquant des blessures fatales » détaille un communiqué de la Fédération française de basket.

Car c’est un membre de la famille du basket français qui nous a quittés brutalement. Greg Beugnot, son entraîneur à Villeurbanne à la fin des années 90, ressent comme un vide à cette annonce. « C’est dur, on avait beaucoup d’atomes crochus avec Ronnie, c’était l’époque de la grande famille villeurbannaise, j’ai l’impression d’avoir perdu quelqu’un de ma famille. On avait un feeling particulier, une complicité, celle qui fait qu’on ressent chaque fois qu’on se retrouve la joie et la fierté de ce que l’équipe avait fait ensemble. Et puis Ronnie, c’est aussi un des meilleurs pivots qu’on ait eu en France. »

Son parcours l’avait mené de Gavelston, son lieu de naissance le 21 avril 1962 aux Etats-Unis, mais aussi sa première équipe universitaire, à la France, son deuxième pays, en passant d’abord par des clubs argentin, suisse et portugais. Avant que sa grande silhouette ne l’emmène à Vichy en 1989, puis à Roanne. A la Chorale, il s’était ancré définitivement dans la basket français, rencontrant son épouse établie à Riorges, qui lui a donné deux filles.

Voiron, Nancy, Besançon, Gravelines, puis l’Asvel et Pau-Orthez, Ronnie qui est devenu international français en 1995 (20 sélections) n’a laissé que des bons souvenirs dont celui de son immense sourire partout où il est passé, à grandes enjambées.

« Il savait y faire pour se faire aimer » se souvient Laurent Pluvy. « Il avait beaucoup de charisme, c’était un type jovial, et un sacré bon basketteur. Il a fait partie de l’équipe qui a fait passer un cap à l’Asvel ». Blessé (ligament interne du genou) avec l’Asvel, il était revenu juste à temps pour le final-four de Rome en 1997. Peu après, il avait rejoint Pau où il était devenu double champion de France, et avait subi la même blessure, qu’il avait accueillie avec son fameux sourire. « C’est Dieu qui l’a voulu » disait-il.

Dieu l’a rappelé à 49 ans, tellement trop tôt.

Philippe Perroud

[Invité]

Je viens d'apprendre la nouvelle avec tristesse surtout que 2 de mes amies étaient proche de lui (l'une l'avait même revu dernièrement )
Sincères condoléances à toute sa famille

[arthur42]

Ue grande pensée pour la famille.

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